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Figure RT.27 : estimation du potentiel économique sectoriel d’atténuation mondiale pour différentes régions en fonction du coût du carbone en 2030, selon les études ascendantes, en comparaison avec les valeurs de références en postulées dans l’évaluation du secteur. On trouvera une explication complète de la dérivation du chiffre en section 11.3.
Notes :
1. Les plages de données pour les potentiels économiques mondiaux tels qu’ils ont été estimés pour chaque secteur sont représentées par des lignes verticales. Les plages de données sont basées sur l’allocation des émissions en utilisation finale, ce qui signifie que les émissions dues à l’utilisation de l’électricité sont comptabilisées dans les secteurs d’utilisation finale et non dans le secteur de la production énergétique.
2. L’estimation des potentiels a été restreinte par la disponibilité des études, particulièrement pour les plus hauts niveaux de coût du carbone.
3. Les secteurs utilisent différentes valeurs de référence. Pour l’industrie, on a utilisé les valeurs de référence RSSE B2, pour la production et le transport de l’énergie, on a utilisé les valeurs de référence WEO de 2004 ; le secteur de la construction se base sur des valeurs de référence situées entre les RSSE B2 et A1B ; pour les déchets, les facteurs du RSSE A1B ont été utilisées pour construire une valeur de référence spécifique aux déchets ; l’agriculture et la foresterie ont utilisé des valeurs de références qui sont principalement basées sur les facteurs B2.
4. Ne figurent que les chiffres des totaux mondiaux de transport car l’aviation internationale n’est pas comprise [5.4].
5. Les catégories exclues sont : les émissions non-CO2 dans la construction et les transports, une partie des options d’efficacité matérielle, la production de chaleur et la cogénération dans la production énergétique, les poids lourds, le transport de fret et les transports de passagers à haut taux d’occupation, la plupart des options à coûts élevés pour la construction, le traitement des eaux usées, la réduction des émissions des mines de charbon et les gazoducs, les gaz fluorés issus de la production énergétique et les transports. La sous-estimation du potentiel économique total de ces émissions est de l’ordre de 10 à 15%.